• Dés le C.C.E Pimkie du  février 2010, la CGT a donné son avis sur les

    motifs économiques du plan social que l’entreprise a engagé depuis le 14

    mai 2009.

     

    Même s’il nous manque certaines informations, celles-ci n’étaient pas essentielles pour bloquer l’avis de la CGT : Les 175 suppressions d’emploi n’ont AUCUNE raison économique mais permet simplement à Pimkie d’être plus compétitive sur le marché !

     

    EXTRAIT DU PROCES VERBAL DU C.C.E DU 4 FEVRIER.

     

    Valérie Pringuez :

    « Pour la CGT, il semble que des questions importantes restent en suspens.

     

    Toutefois, même sans ces réponses, la CGT a conscience qu’il n’y a aucune raison économique à ce plan social, sachant que Pimkie/Diramode dégage de larges bénéfices depuis cinq exercices, soit 52 millions d’euros. De plus, Pimkie fait partie de l’AFM, qui, même s’il ne se nomme pas « groupe », en est un par la force des choses et dégage aussi d’énormes bénéfices. Donc les moyens économiques existent chez Pimkie et dans l’AFM.

     

    Il est purement inacceptable que les entreprises faisant des bénéfices puissent procéder à des licenciements boursiers. Pour la CGT, l’objectif aujourd’hui est bel et bien d’accompagner sereinement les salariés dans leurs démarches et non de faire des procédures juridiques. »

     

    Prochaine étape :Le 24 février 2010, à 9h, avec l’avis du C.C.E sur les mesures sociales du P.S.E. C'est-à-dire les accords qui ont été signés le 6 janvier et le 14 janvier.

     

    La CGTgardera la position qu’elle a eue durant toutes ces négociations :

    • L’amélioration des propositions de reclassement dans les entreprises Mulliez avec le maintien de nos acquis sociaux (ancienneté, tickets restos…).
    • Des garanties pour les salariés restant dans l’entreprise (tout spécifiquement l’aménagement des postes de travail).

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